Olivier est un homme d'action, un homme qui, tard le soir, met lui-même les vins dans les fûts - la plupart du temps, il s'agit de grands vins d'une contenance d'environ 600 litres, presque tous d'occasion. C'est lui qui, après ce travail, m'envoie un e-mail pour me remercier de la visite - les chocolats de Max Chocolatier - et de l'entretien. Et c'est aussi lui qui nous envoie le lendemain matin l'allocation, qui montre à quel point il a été heureux de notre visite, de notre intérêt pour ses vins, tout cela avant même de disparaître dans la vigne, l'endroit où il préfère travailler, parce qu'un grand vin ne se fait jamais, parce qu'un grand vin pousse toujours, mais pas sans que le maître mette la main à la plante, de telles histoires sont des contes. Je te tire mon chapeau imaginaire, Olivier Lamy ! No gut's no glory !