En 1999, Jacques Tatasciore a troqué le bureau contre la vigne et ne l'a pas regretté une seule seconde jusqu'à aujourd'hui. Pourtant, sa formation l'influence considérablement. Positivement, je pense, car Jacques est un perfectionniste. Ce n'est que lorsqu'un vin répond à ses exigences, et elles sont élevées, aussi élevées que celles des plus grands noms de la Bourgogne, qu'il est mis en bouteille. Et Jacques Tatasciore ne met le vin en vente que lorsqu'il commence à bien se présenter. Cela demande beaucoup de patience au vigneron, à ses amis et à ses fans. Mais la patience en vaut la peine !